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ÉPINONVILLE – 55174

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• De gueules au rameau d’aubépine tigé et feuillé d’or, fleuri d’argent au bouton d’or étoilé entouré de dix losanges de gueules.
Chapé ondé d’azur, bordé d’or, chargé à dextre d’un loup ravissant d’argent contourné et à senestre d’un lion du même à queue fourchue.

• Soutien sous l’écu : deux rameaux d’aubépine, feuillés de sinople, tigés de tanné et fleuris d’argent, croisés en sautoir.

• Devise sur listel d’or à l’envers de sinople : ÉPINONVILLE

• Cri de ralliement d’or à l’envers de sinople : ÉCLISFONTAINE IVOIRY

La commune est composée de trois villages : Ềpinonville au centre, Éclisfontaine à l’ouest et Ivoiry à l’est.

Les rameaux d’aubépine constituent des figures parlantes pour le toponyme ỀPINONVILLE du village ; ép d’origine hébraïque signifie épine.
Le village s’appelait jadis Spanulphi –villa (span de l’allemand spannen : tendre, étendre) lié au culte de Saint Balderic, le patron de la paroisse.
Le corps du saint, abbé-fondateur de l’abbaye de Montfaucon, enlevé de Reims, aurait été suspendu à des branches dans la forêt du village par les moines de Montfaucon pour échapper aux poursuivants rémois.

Le loup évoque le sobriquet des habitants du village d’ỀCLISFONTAINE lié sans doute à la proximité de la forêt.

Le lion d’argent à queue fourchue est celui de la très ancienne famille d’Ivoiry (a) qui a pris jadis le nom du village IVOIRY.

La partition ondée souligne que les villages de la commune possèdent de nombreuses sources sur la ligne de partage des eaux entre le Bassin parisien et celui de la Meuse.
Elle évoque la source, la fontaine pour Ếclisfontaine.

La commune aux 3 villages d’Ếpinonville a été décorée de la croix de guerre pour sa conduite exemplaire en 1914/ 1918.

(a) la famille d’Ivoiry portait selon euraldic  » D’azur, au lion d’argent, armé et lampassé de gueules, la queue fourchue. » ou
Selon Jeantin (manuel de la Meuse) :  » D’argent au lion d’azur, armé, lampassé de gueules et à la queue fourchue  »

Armoiries composées et dessinées par Robert, André LOUIS et Dominique LACORDE, avec les conseils de la commission héraldique de l’UCGL et adoptées par la commune en avril 2012.

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