Ecartelé d’argent et d’azur, au 1, à la silhouette de chauve-souris de sable ;
Au 2, à une quintefeuille d’argent au bouton du champ ; au 3, à la scie crocodile d’argent posée en bande, manche vers la pointe, au 4, à une ombre de levée de six champignons de Paris, 3 petits croissant devant 3 matures.
Dans un écu de modèle « Suisse » (au bord supérieur formé de deux courbes concaves dessinant trois pointes).
La quintefeuille est ici une fleur de saponaire. C’est une arme parlante pour le toponyme du village jadis saponaria in page Parthensi.
La scie crocodile de carrier illustre l’importance des carrières sur le finage de la commune.
L’écu suisse évoque St Maurice auquel est vouée l’église. C’est en Suisse, à Agaune, dans le Valais que saint Maurice et ses compagnons subirent le martyre.
La chauve-souris représente les colonies de ces mammifères qui se plaisent dans les galeries sombres creusées par les carriers, en particulier les petits rhinolophes.
La levée de champignons de Paris illustre la renommée des champignonnières de Savonnières en Perthois au 20ème siècle. Cette levée illustrait naguère les conditionnements de champignons expédiés de Savonnières en Perthois.
Version d’Armoiries conçue, finalement non adoptée, par la municipalité, sur la base d’une proposition de Robert, André LOUIS membre de la Commission héraldique de l’UCGL, en novembre 2016.