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VAUX lès PALAMEIX – 55540

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Ecartelé en sautoir :
– au 1 de sinople à une colombe d’argent, volant en barre ;
– au 2 de gueules au panier d’osier d’or ;
– au 3 de gueules au rencontre de sanglier d’or également ;
– au 4 de sinople à la fleur des marais d’argent.

 Soutien de l’écu : à dextre un rameau d’osier tigé d’or feuillé de sinople et aux chatons de sinople et d’argent, passé en sautoir avec un rameau de chêne tigé de tanné, feuillé de sinople et englanté d’or.
 Croix de guerre 1914/ 1918 appendue à son ruban sous l’écu et brochant sur la croisure.
 Cri de ralliement VAUX lès PALAMEIX en lettres de sable sur un listel d’or au revers de gueules.

La partition en chevron renversé (en V) évoque le toponyme VAUX jadis vallis en latin vallée.
La fleur des marais évoque Palameix jadis palamé. Ce toponyme d’origine germanique signifierait, avec meix (propriété rurale) et pal du latin palus (marais).
Ce lieu dit, maintenant sur le territoire de Troyon, où s’élèvent une ferme et une chapelle, a été le siège de l’église-mère des villages proches.

La colombe illustre la légende de Saint Saintin, 1er évêque de Verdun, le patron de la communauté chrétienne du village. (a)

Le panier et le rameau d’osier soulignent l’importance de la culture et de l’industrie de l’osier dans le village.

Le rameau est celui des chênes et des autres arbres des bois environnants.

Le masque de sanglier représente le gibier de ces bois, en particulier les sangliers qui sont à l’origine du nom d’un des ruisseaux de la commune : le sanglu .

La croix de guerre 1914/ 1918 a été décernée au village avec la citation suivante à l’ordre de l’armée : cité martyre, témoin de tous les combats qui a payé de sa destruction totale l’honneur d’avoir été située en première ligne pendant quatre années.

(a) Saint Saintin (270 -354) évêque de Meaux envoyé par St Denis pour évangéliser le Verdunois est arrivé, avec le prêtre Antonin, devant la cité de Verdun entièrement païenne. Ils prièrent en implorant la Sainte Trinité de les aider à convertir tant d’âmes. Trois colombes se posèrent prés d’eux. Ils y virent une marque de succès de leurs prédications.

Armoiries composées et dessinées par Robert, André LOUIS, héraldiste, et Dominique LACORDE, historien, avec les conseils de la commission héraldique de l’Union des Cercles Généalogiques de Lorraine et adoptées par la commune le 03 octobre 2014.

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