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Les PAROCHES – 55401 –

 D’azur à la croix recroisetée d’or accostée de deux socs de charrues antiques d’argent ; chef de gueules ondé, aux deux fûts canons d’or croisés en sautoir.  Soutien de l’écu, deux rameaux de tilleuls tigés de tanné feuillés de sinople et fleuris d’or passés en sautoir.  Croix de guerre 1914 – 1918 appendue sous l’écu et brochant sur la croisure?  Cri de ralliement toponymique LES PAROCHES d’or sur un listel de sinople au revers de gueules. Les trois croisettes de la croix recroisetée représentent chacune une paroisse : Paroche la Petite, Paroche la Grande et Refroicourt détruit par les Suédois. Paroche de Parrochia signifie paroisse. L’azur et l’or soulignent que le village dépendait du Barrois mouvant, prévôté de St Mihiel. Les canons représentent les pièces d’artillerie du fort des Paroches qui bien que sérieusement détruit en septembre 1914 a résisté pendant toute la guerre 1914/1918 pour couper l’accès à Verdun. Le chef ondule comme la Meuse et les ruisseaux. Les socs illustrent le caractère agricole des villages. Les rameaux de tilleuls représentent l’avenue des tilleuls et les arbres du bois des Paroches. La croix de guerre a fait l’objet de la citation à l’ordre de l’armée […]
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LAHAYVILLE – 55270 –

• D‘argent au rameau de buisson ardent tigé feuillé de sinople , fruité et armé de gueules, chapé et chaussé courbés ( affaissés) d’azur, chargé en chef à dextre d’un M antique surmonté d’une couronne, à senestre d’une libellule, les trois d’or. • tenant de l’écu, deux bergeronnettes des ruisseaux affrontées se sinople au ventre d’or. • à la croix de guerre 1914 – 1918 appendue à son ruban sous l’écu. • Devise toponymique LAHAYVILLE sur un listel d’or au revers de gueules L’azur et l’or rappellent que le village était jadis situé dans le Barrois non mouvant ; prévôté de Bouconville, puis de St Mihiel. Le rameau de buisson ardent, utilisé pour faire des haies vives, évoque bien entendu le toponyme Lahayville (jadis Laheville, Hayvilla). Lahayville serait par ailleurs dérivé du nom de personne germanique Latharius de lat du vieil haut allemand laba : réconfort et hari : armé (la protection par la haie armée) Le M antique surmonté d’une couronne est celui de Marie, la mère de Jésus, en son assomption, la patronne de Lahayville. La libellule et les bergeronnettes des ruisseaux représentent celles qui volent au-dessus et aux bords des eaux des ruisseaux du village et de […]
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LACROIX sur MEUSE – 55268 –

• D’or à la trangle ondée d’azur haussée surmontée d’une croix de gueules et soutenue par un léopard également d’azur tenant dans sa patte dextre un maillet de sculpteur de gueules • Tenants de l’écu : à dextre Minerve de carnation, casquée et à la lance d’or et au bouclier d’or orné de gueules, habillée d’or et de gueules ; à senestre, saint Jean-Baptiste également de carnation, auréolé d’or et tenant une croix du même et habillé de gueules • Croix de guerre 1914/ 1918 appendue sous la pointe de l’écu • Devise toponymique LACROIX sur MEUSE, brochant sur le ruban de la croix de guerre, en lettres d’or sur un listel de sinople au revers de gueules. La croix et la trangle ondée la surmontant représentent le toponyme Lacroix sur Meuse. La croix de gueules sur champ d’or est également celle des armes de la famille de Watronville(a), branche de Maisey, seigneur de Lacroix au 16ème siècle. Le léopard d’azur sur champ d’or évoque la famille de Rosières(b) seigneur du bourg au 17ème et 18éme siècles. Le léopard tient un maillet de sculpteur en hommage au grand sculpteur Duillio Donzelli ayant résidé et exercé ses talents notamment à Lacroix […]
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HAN sur MEUSE – 55229

• De gueules, à une épée haute d’argent ornée d’or, accompagnée à dextre d’un épi de nard d’or et à senestre d’une gerbe d’or du même. • Chef ondé cousu d’azur à deux lions affrontés d’or. • Soutien de l’écu, deux tiges de roseaux tigés et feuillés de sinople, fruité de tanné, passés en sautoir avec deux autres des mêmes. • L’écu timbré d’un manteau de cheminée du lieu, drapé stylisé d’or, chargé du cri HAN sur MEUSE du même, sur une plaque d’azur. • Croix de guerre appendue à son ruban, sous l’écu et brochant sur la croisure des rameaux. Le chef ondule comme la Meuse sur le territoire de la commune composée depuis 1973 des trois villages de Han sur Meuse, Ailly sur Meuse et Brasseitte. L’azur  du chef est cousu avec les gueules du champ pour  rappeler avec l’or des lions  que les trois villages étaient situés dans le Barrois : Han dans le Barrois mouvant, prévôté de saint Mihiel, Ailly et Brasseitte dans le Barrois non mouvant dépendaient de la châtellenie des Koeurs, évoquée par le lion d’or sur champ d’azur (les armes des Koeurs étaient : d’azur au lion d’or, à la fasce d’argent brochant […]
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BROUSSEY – RAULECOURT – 55085

D’argent, chargé à dextre une feuille de chêne de sinople posée en bande et à senestre d’un rameau de prunellier épine noire, tigé de sable, feuillé de sinople et fruité d’azur, posé également en bande,, champagne d’azur au lambel à quatre pendants d’or. Soutien de l’écu, deux rameaux de chêne, tigés de tanné, feuillés de sinople et englantés d’or, passés en sautoir. Croix de guerre 1914 – 1918 appendue à son ruban sous l’écu et brochant sur la croisure des rameaux. Cri de ralliement :BROUSSEY – RAULECOURT  d’or sur un listel de sinople au revers de gueules. L’azur de la champagne et l’or du lambel sont les émaux du Barrois non mouvant où étaient situés Broussey en Woëvre et Raulecourt réunis en une seule commune en 1973 La prévôté de Mandres aux quatre tours dont dépendaient jadis ces deux cités, est illustrée par Le lambel aux quatre pendants. Le prunellier, buisson par excellence, illustre le toponyme BROUSSEY du village dérivé du gaulois brucos : broussaille, buisson. Selon une autre version Broussey pourrait être dérive de broccos : le blaireau. La feuille de chêne est une arme parlante pour le toponyme raulecourt jadis Raulini curtis, Roullecourt, roule, roulle issus de roboren […]
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BISLÉE – 55054 –

 D‘azur, chargé à dextre d’une mitre et à senestre d’une gerbe, les deux d’or soutenus par un rencontre de taureau d’or également, accorné de sable et bouclé de gueules, à un orle ondé d’argent.  Tenant de l’écu, deux chevaux bais.  Croix de guerre 1914 – 1918 appendue à son ruban sous l’écu.  Devise BISLÉE  sur un listel d’or au revers de gueules, brochant sur le ruban de la croix de guerre. L’étymologie des toponymes anciens du village (biscryblata in page Virdonense, Bislata, Booleia, Bilcei, Billeie, Billée, Bille, Biley, Bilei, Bilaeum, Biscryblata) dériveraient, selon certains auteurs, de biessi, du gaulois besso : bouleau ou du nom d’homme gaulois bisilius de bisu : doigt. Selon la mémoire collective des anciens du village, Bislée évoquerait plutôt les eaux qui entourent le village, elles sont représentées par l’orle ondé d’argent. La mitre est celle de Saint Privat, auquel est vouée l’église fortifiée du XIIIème siècle. Martyrisé vers 250 par les alamans, Privat était évêque de Mende dans la province du Gévaudan dont les armes étaient : « de gueules à la gerbe d’or », représentée par la gerbe d’or. L’azur et l’or soulignent que Bilée dépendait jadis du barrois non mouvant. Les […]
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APREMONT-la-FORÊT – 55012

Depuis le 1er janvier 1973, Apremont-la-Forêt est fusionné avec Liouville, Marbotte et Saint-Agnant-sous-les-Côtes  Ecartelé au 1 de gueules à la croix d’argent, au 2 d’or au tétragone carré bastionné au 4 angles et évidé de gueule, au 3 d’or également à la mitre de gueules chargée d’un cœur-de-lys d’argent, au 4, d’argent à la croix pattée de gueules.  Soutien de l’écu, deux rameaux de charme supportés de tanné, feuillés de sinople et fruités d’or, passés en sautoir.  A la croix de guerre 1914 1918 appendue à son ruban sous l’écu et brochant sur la croisure.  Devise APREMONT-LA-FORÊT en lettres de sable sur un listel d’or au revers de gueules. La croix d’argent sur un champ de gueules est celle de la famille seigneur du lieu qui prit le nom du village Apremont. La croix pattée de gueules (rouge) sur un champ d’argent est le symbole des chevaliers du temple. Elle souligne qu’au lieu dit commanderie à Marbotte, une maison des templiers fut fondée vers 1150. Le tétragone bastionné représente les éléments défensifs du fort de LIOUVILLE. Ce fort de la série Seré de Rivières, construit vers 1875, fut très endommagé en 1914, il resta cependant occupé par […]
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Ville devant Belrain – 55555

• d’or au dragon de sable langué de gueules, transpercé par une lance brisée du même surmonté de deux billette nouées également de gueules, chef triangulaire d’azur à la fasce ondée d’argent et à la gerbe d’or brochant. • soutien sous l’écu : deux tiges de trèfle de sinople feuillées du même et fleuries de gueules passées en sautoir. • Devise : VILLE DEVANT  BELRAIN en lettres d’or sur listel de sinople au revers de gueules La fasce ondée d’argent et la gerbe d’or évoquent le toponyme Ville devant Belrain, jadis villa erria, Villa ante bellum ramum : la gerbe représente villa : ferme, domaine agricole, la fasce serpente comme l’Aire (erria). Le domaine agricole de l’Aire. La gerbe illustre également bellum ramum (beau rameau). Le dragon terrassé est l’un des attributs de saint Georges le patron de la paroisse. Les billettes nouées dessinent des archères-canonnières et représentent les éléments défensifs de l’église fortifiée qui servait jadis de refuge aux habitants en cas de danger d’incursion. Les tiges de trèfle soulignent le caractère agricole du village. Armoiries composées et dessinées par Robert, André LOUIS avec les conseils de la commission héraldique de l’Union des Cercles Généalogiques Lorrains et adoptées la […]
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THILLOMBOIS – 55506

• D’or, à la tour de gueules, ouverte et ajourée du champ ; Chapé de gueules chargé à dextre d’une fleur de tilleul d’or et, à senestre, d’une roue de moulin du même. • Soutien de l’écu : deux rameaux de chêne feuillés de sinople, tigés de tanné et fruités d’or, passés en sautoir à la mitre d’or brochant sur la croisure. • Devise toponymique THILLOMBOIS en lettre d’or sur listel de sinople au revers de gueules. La fleur de tilleul et les rameaux de charmes évoquent le toponyme Thillombois jadis Tyllombois, Tillone sylvertri.Thil, til, tyl, tillon seraient des dérivés du latin tilius le tilleul. La tour symbolise le château fort construit vers 1271. Il a été pillé lors de la guerre de Trente Ans ; les parties les plus ruinées ont été démolies au siècle suivant. En 1825 une nouvelle aile a été ajoutée côté parc ; puis une cinquantaine d’années plus tard des embellissements ont été faits, sans construction d’un nouveau bâtiment. Il constitue actuellement, avec son grand parc, un haut lieu historique, culturel et touristique de la Meuse. La tour rappelle également que Thillombois était jadis une seigneurie appartenant successivement aux maisons de Belrain, de Savigny, de […]
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Rupt devant Saint Mihiel – 55448

• D’or au pinson des arbres chantant au naturel, soutenu par une trangle ondée abaissée d’azur ; Chef d’azur au lambel à 3 pendants d’argent. • soutien sous l’écu : deux rameaux de saules tigés de tanné, feuillés de sinople et fruités d’or. • Devise RUPT DEVANT SAINT MIHIEL en lettres de sable sur un listel d’or au revers de gueules. La trangle ondée et une arme parlante pour le toponyme RUPT dérivé du latin rivus : rivière. Trangle et rameaux de saules évoquent le ruisseau de Rehaut affluent de la Meuse qui prend sa source à Rupt. Le chef d’azur et le lambel d’argent rappellent que jadis Rupt devant Saint Mihiel dépendait de la prévôté de Pierrefitte(a). Le pinson qui manifeste sa joie par son chant mélodieux évoque Saint Hilaire le patron de la paroisse (Hilaire du latin hilarius signifie joyeux)   (a )Pierrefitte sur Aire a pour armes : »d’azur semé de croix recroisetées au pied fiché d’or à deux bars adossés du même, brisé d’un lambel à 3 pendants d’argent ». Armoiries composées et dessinées par Robert, André LOUIS avec les conseils de la commission héraldique de l’Union des Cercles Généalogiques Lorrains et adoptées par la commune le 25 […]
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Nicey sur Aire – 55384

  • Parti : au 1, de gueules au lambel d’or soutenu par une fasce ondée abaissée du même, au 2, d’argent à la palme de sinople posée en barre; Chef d’azur bastillé aux deux fleurs de lys d’argent. • Soutien de l’écu, deux rameaux de hêtre feuillés de sinople, tigés de tanné et fruités d’or, passés en sautoir. A la croix pattée de gueules brochant sur la croisure. • Devise : NICEY sur AIRE  en lettres d’or sur listel de sinople au revers de gueules La palme de sinople (vert), symbole de la victoire, évoque le toponyme NICEY du village, jadis Niceum, Nicei. Selon une version Nice viendrait du grec nikaios : victorieux. La fasce ondée d’or représente, bien entendu l’Aire. Le lambel et la fasce sont ceux des armes de la famille qui, au moyen âge, portait le nom du village ; une fasce et un lambel (sans autre précision concernant les émaux, selon Dom Calmet). Les créneaux formés par le chef rappellent la maison forte tenue jadis par les seigneurs du lieu. Les fleurs de lis d’argent sur champ d’azur illustrent le patronage de la paroisse par la Vierge Marie, en sa nativité. La croix pattée de […]
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Ménil aux Bois -55333

 Coupé : au 1, d’azur aux deux feuilles de chêne d’or posées en chevron ; au 2 d’argent à un dragon contourné de sinople ; au chevron de gueules haussé brochant sur les deux champs.  Soutien sous l’écu : à dextre un rameau de chêne, à senestre un rameau de hêtre passés en sautoir, les deux tigés de tanné; feuillés de sinople et fruités d’or.  Devise : MÉNIL aux BOIS en lettre d’or sur un listel de sinople au revers de gueules. Le chevron évoque un toit, la maison et ainsi Ménil (la maison rurale). Les feuilles de chêne représentent les bois. Ainsi chevron et feuilles de chêne font allusion à Ménil aux Bois. L’azur et l’or soulignent que le village dépendait jadis du Barrois mouvant. Le chevron de gueules (rouge) rappelle également que jadis Ménil aux Bois dépendait du comté et la prévôté de Sampigny (a). Le dragon illustre la légende de Saint Vanne évêque de Verdun vers 500, le patron de la paroisse. Il neutralisa avec son étole un serpent qui infectait les environs de son évêché. Dans la chrétienté le vert est la couleur de l’espérance et ainsi Saint Vanne, (Vanne dériverait du nom […]
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Longchamps sur Aire – 55301

 De gueules – à un pal d’or, chargé d’une tête arrachée d’aigle de sable lampassée de gueules et accosté de deux hures de sangliers affrontées d’or défendues d’argent. – à la champagne ondée d’azur.  Soutien sous l’écu : deux brins de luzerne tigés, feuillés de sinople et fleuris de gueules passés en sautoir.  Devise : LONGCHAMPS sur AIRE en lettres d’or sur listel de sinople au revers de gueules Le pal d’or évoque un long champ cultivé ; ainsi le pal et la champagne, ondant comme l’Aire symbolisent Longchamps sur Aire jadis longus campus. Le village de Longchamps était jadis composé de trois seigneuries : l’une domaniale dépendait de la prévôté de St Mihiel. Les deux autres « Combervaux » et « Bassompierre » dépendaient des officiers des seigneurs locaux, la famille Wanault Collesson(a) illustrée par les gueules, l’or et le sable, la famille Colliquet dont les armes (b) sont évoquées par les hures de sanglier d’or et la famille de l’Escale(c) symbolisée par la tête d’aigle arrachée de sable. Les deux brins de luzerne soulignent le caractère agricole du village. (a) la famille Wanault Collesson portait :  » de gueules à une bande d’or chargée de 3 merlettes de sable » […]
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Fresnes – au – Mont – 55197

  • Parti : au 1, d’argent, à une feuille de frêne à sept folioles de sinople posée en pal, au 2, de gueules à une gueule de loup arrachée soutenue par une tête d’Éole soufflant, les deux d’or ; au mont de sinople mouvant de la pointe et brochant sur les deux champs. • croix de guerre 1914 – 1918 appendue à son ruban sous l’écu. • Devise : FRESNES  au MONT en lettre de sable sur un listel d’or au revers de gueules. La feuille de frêne constitue bien entendu une arme parlante pour le toponyme Fresnes jadis Franium, Frenium, Fraxinis in Montibus. Feuille de frêne et mont illustrent donc Fresnes au Mont. La tête de loup et celle d’Eole (dieu du vent) sont également des armes parlantes pour Louvent un écart de Fresnes qui fut érigé en 1723 en chef lieu de baronnie, comprenant Fresnes au Mont, Louvent et Lahaymeix pour le seigneur du lieu Gabriel d’Armur de Louvent (ou de Louvan). Le village de Fresne au Mont a été décoré de la croix de guerre 1914-1918 avec la citation suivante à l’ordre de l’armée : Vaillante cité qui, située en pleine zone de combat, a été […]
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Lignières-sur-Aire– 55290

  • D‘or à une fleur de lin d’azur, au bouton pentagonal du champ, entouré de 10 triangles d’argent, surmontée d’un dé d’azur, orné d’or, accosté de deux croix de malte de gueules. • Soutien sous l’écu : deux rameaux d’alisier torminal tigés de tanné, feuillés de sinople et fruité d’or. • Devise toponymique LIGNIÉRES–sur-AIRE en lettres d’or sur un listel de sinople au revers de gueules. La fleur de lin évoque le toponyme Lignières (jadis Liners, ) qui aurait pour origine le latin linarium, linaria : terre où l’on cultive le lin ; selon une autre version s’appuyant sur ligneres(1656) du latin lignum ou lemnia bois, forêt . Les deux croix de Malte rappellent que la ferme Saint Evre constituait jadis une cense et métairie avec chapelle dépendant de la commanderie de Ruel de l’ordre de Malte. Le dé illustre une activité de naguère : la broderie. Les deux rameaux d’alisier représentent les bois environnants. Armoiries composées et dessinées par Robert, André LOUIS avec les conseils de la commission héraldique de l’Union des Cercles Généalogiques Lorrains et adoptées par la commune le 02 décembre 2015.
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Levoncourt – 55289

• D’azur à la tête de lion arrachée d’argent, surmontée à dextre d’une meule de moulin d’or, à senestre d’une meule d’huilerie du même. Chef triangulaire de gueules à une oie volant d’argent, allumée becquée et aux pattes d’or, posée en bande. • soutien sous l’écu : deux brins de colza de sinople fleuris d’or passés en sautoir. • Devise toponymique LEVONCOURT en lettres d’or sur un listel de sinople au revers de gueules La tête de lion d’argent rappelle que la baronnie de Levoncourt était jadis le siège d’une prévôté comprenant Levoncourt et Lavallée dont les armes des seigneurs successifs, Hannel de Levoncourt et Peschart d’Ambly, comportaient un lion d’argent(a). L’oie est l’un des attributs de Saint Martin le patron de la paroisse. Les meules représentent le moulin et l’huilerie qui utilisaient jadis la force motrice du ruisseau de Levoncourt. Les brins de colza soulignent le caractère agricole du village. (a) La famille Hannel de Levoncourt avait pour armes : « de gueules au lion d’argent armé et lampassé d’or » La famille Peschart d’Ambly de Levoncourt avait pour armes : « coupé d’argent et de sable au lion de l’un dans l’autre ». Armoiries composées et dessinées par Robert, André LOUIS avec […]
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KOEUR la Petite – 55264

 D’azur au lion d’or, à la fasce d’argent brochant sur le tout.  Soutien sous l’écu un rameau de chêne, à dextre, passé en sautoir avec un rameau de saule à senestre, tigés de tanné, feuillés de sinople et fruités d’or.  A la croix de guerre 1914 – 1918 appendue sous l’écu par son ruban brochant sur la croisure.  Devise toponymique KOEUR la PETITE en lettre d’or sur un listel de sinople au revers de gueules. L’écu reprend les armes de François Barrois, baron de Manonville, pour lequel la seigneurie des Koeurs fut érigée en comté en 1717. Un château moderne remplaça alors le vieux château fort qui se dressait jadis à Koeur la Petite et qui servi de résidence à plusieurs personnages illustres, notamment René d’Anjou, roi de Sicile, duc de Lorraine et de Bar, sa fille Marguerite de Lorraine, reine d’Angleterre, Louis XIII pendant le siège de Saint Mihiel. L’azur est l’or soulignent que Koeur la Petite était jadis une terre du Barrois mouvant(a). Le rameau de chêne représente les arbres des forêts environnantes ; celui de saule évoque les bords de la Meuse. La Croix de Guerre 1914-1918 a été décernée à Koeur la […]
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Koeur la Grande – 55 263

 D’or à la bande de gueules chargée de trois alérions d’argent au lambel à trois pendants d’azur brochant sur le tout.  Soutien sous l’écu : deux rameaux d’orme feuillés de sinople, tigés de tanné, fruités d’or, passés en sautoir.  A la croix de guerre 1914 1918 appendue à son ruban sous l’écu et brochant sur la croisure.  Devise toponymique KOEUR la GRANDE d’or sur un listel de sinople au revers de gueules L’or à la bande de gueules (rouge) chargée de trois alérions d’argent constitue le blason de Lorraine, il rappelle que c’est le duc de Lorraine René 1er d’Anjou qui fit construire l’église de Koeur la Grande, vouée à Saint Martin, au 15ème siècle. Avec le lambel à trois pendants d’azur, cet écu reprend les armes de Catherine de Lorraine, duchesse de Mercoeur, pour laquelle les Koeurs avaient été érigé en chef lieu de prévôté par le duc Charles III. L’azur est l’or souligne que Koeur la grande était jadis une terre du Barrois mouvant(a) (René 1er était en même temps duc de lorraine et duc de Bar) Les rameaux d’orme représentent les arbres des forêts environnantes et une des rues de Koeur la Grande. […]
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Dompcevrin – 55159

• Tiercé en pairle : – au 1, de gueules à une lyre d’or ; – au 2 d’azur au four à chaux ancien d’argent crachant des flammes de gueules ; – au 3, d’or à un rocher d’azur. • Soutien sous l’écu : à dextre, un pampre et, à senestre un rameau de hêtre, passés en sautoir, tigés de tanné, fruités d’or, feuillés de sinople et vrillé du même pour le pampre. • A la croix de guerre 1914 – 1918 appendue à son ruban sous l’écu et brochant sur la croisure des rameaux. • Devise DOMPCEVRIN en lettres d’or sur un listel de sinople au revers de gueules La lyre, instrument antique, accompagnant le chant, évoque St Symphorien (dérivé de Symphoros : accompagné, porter avec) le patron de la paroisse, jeune chrétien dont le martyre (décapité à Autun vers 178 pour avoir refusé d’honorer la déesse romaine Cybèle) est évoqué par le champ de gueules. Le toponyme Dompcevrin dérivé de Domnus Symphorianus de jadis est donc également évoqué par la lyre. Le four à chaux rappelle que des fours à chaux ont animé la vie de la cité de 1907 à 1971. L’azur et l’or soulignent que le village […]
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NEUVILLE en VERDUNOIS – 55380

• D’azur, au chevron renversé et abaissé d’argent et à une cavalière d’or, en pied au chapeau de sable empanaché d’argent et de gueules, armée d’une lance et d’une épée, brochant ; chef d’or chargé d’un double nœud de gueules. • Soutien sous l’écu, deux rameaux d’alisier torminal feuillés de sinople, tigés de tanné et fleuris d’argent, passés en sautoir au clou d’or brochant sur la croisure. • Devise toponymique NEUVILLE  en VERDUNOIS en lettre d’or sur listel de gueules au revers de sinople. Le nœud de gueules (rouge) et le chevron renversés d’argent illustrent phonétiquement le toponyme Neuville en Verdunois jadis Nova villa, Neufville. Le clous d’or (a) souligne que le village dépendait autrefois du pouvoir temporel de l’évêque de Verdun (prévôté de Tilly) ; pour le spirituel, il relevait du diocèse de Toul. La cavalière est Alberte Barbe d’Ernecourt (b) seigneur du village jadis, comtesse de Saint Baslemont par son mariage avec Jacques d’Haraucourt de saint Baslemont (c). Le personnage est inspiré du portrait équestre d’Alberte d’Ernecourt par Claude DÉRUET en 1646, conservé au musée lorrain. Née en 1607 à Neuville, Alberte Barbe d’Ernecourt, surnommée l’amazone chrétienne, pour ses talents de cavalière et de chef militaire, organisa la […]
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