
BOUREUILLES – 55065
Tiercé en pal : au 1) d’azur au pal potencé et contre-potencé d’argent – au 2) d’or à une crosse de sable soutenue d’un caillou de sinople – au 3) de gueules à trois alérions d’argent posés en pal. Soutien derrière l’écu : deux haches d’or aux manches d’orangé passées en sautoir ; soutien de l’écu : deux rameaux de bouleau tigés de tanné,feuillés de sinople et aux cônes d’or, mouvant d’une branche tronquée au naturel Devise BOUREUILLES en lettres d’or sur un listel de sinople au revers de gueules. Croix de guerre 1914 1918 appendue à son ruban sous la devise Boureuilles est situé entre la Champagne et la Lorraine, d’où les deux pals correspondant à ces provinces. La crosse est celle de l’abbaye de Lachalade qui possédait un fief à Boureuilles. Le caillou est le surnom des habitants de la localité. La commune est titulaire de la Croix de Guerre 1914-1918.En ornements extérieurs, les haches rappellent l’importance du bois, nécessaire pour les faïenceries dans le passé et les rameaux de bouleaux évoquent la fabrication de balais à Boureuilles à une certaine époque. Armoiries composées par D.Lacorde et D. Larcher et R. LOUIS, adoptées par la commune le 31 janvier 2014.
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BAULNY – 55033
• Coupé au 1) de gueules au château ruiné d’or ; au 2) d’argent à une roue de moulin à eau de sable issant d’une devise ondée d’azur. • soutien de l’écu deux rameaux d’arbre tigés de tanné, feuillés de sinople et fleuris de quartefeuilles de gueules au bouton octogonal d’or entouré de triangle du même, passés en sautoir. • croix de guerre 1914- 1918 appendue sous l’écu et brochant sur la croisure. • cri de ralliement BAULNY en lettres de sable sur listel d’or au revers de gueules En 1142, Régnier de Baulny fit édifier un château en ce lieu en hauteur, en apparence pour la défense de l’évêque de Verdun dont il semblait soutenir les intérêts, mais réellement pour pouvoir piller les terres de l’évêché. Régnier, ayant été cité à comparaitre pour rendre compte de sa conduite, non seulement refusa de comparaitre, mais il continua ses déprédations, de concert avec Henri de Grandpré. Le prélat Albéron de Chiny, vint alors faire le siège de Baulny dont le château se rendit après une vive résistance. Le vainqueur fit démolir la forteresse qui, depuis, n’a jamais été reconstruit. D’où un château détruit dans le blason. Baulny a fait partie du […]
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AUBRÉVILLE – 55014
De gueules aux deux carafes d’argent en cours de façonnage sur leurs cannes de verriers d’or passées en sautoir et au bouclier d’elfe d’or également brochant , soutenu par une trangle ondée d’argent. Chef cousu d’azur à trois bouterolles d’or. Soutien de l’écu : deux rameaux de chêne tigés de tanné, feuillés de sinople et englantés d’or, soutenus par deux pics de carriers d’azur aux manches de tanné posés l’un en bande l’autre en barre. Croix de guerre 1914- 1918 appendue à son ruban sous l’écu et brochant sur la croisure des rameaux. Devise AUBRÉVILLE en lettres de sable sur un listel d’or au revers de gueules. Le bouclier d’elfe évoque le toponyme AUBRÉVILLE ( jadis Alberis-villa)qui selon certains auteurs viendrait du nom d’homme germanique Albéric complété par villa (le domaine d’Albéric). ALBÉRIC aurait pour racines : albe : elfe et ric : puissant. Les elfes selon la mythologie celtique vivaient le plus souvent dans les bois. La trangle ondée serpente comme l’Aire et son affluent à Aubréville la Cousance. Les cannes de verriers rappellent que naguère le hameau de Lochères a connu une industrie verrière importante. Les trois bouterolles (ornement du bas du fourreau représentent […]
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AZANNES – ET – SOUMAZANNES -55024
Tiercé en pairle : Au 1, de gueules à l’annelet d’argent, au 2, d’azur à une roue de chariot d’or ; au 3, d’or à une anille (fer de moulin) d’azur, à la divise ondée abaissée d’argent brochant sur les deux champs en pointe chargée de trois têtards, de sinople nageant en fasce. Soutien de l’écu : Deux rameaux de frêne, tigés de tanné, feuillés de sinople et fruités d’or, passés en sautoir Devise : AZANNES- ET – SOUMAZANNES en lettre de sable sur un listel d’or au revers de gueules. Croix de guerre 1914/1918 appendue à son ruban, en pointe sous l’écu et brochant sur la croisure. La divise ondée en dessinant les méandres de l’Azannes, évoque le toponyme AZANNES jadis Aisenna du latin ansa : méandre, en représentant une source, elle illustre également SOUMAZANNES de summus : source. Soumazannes source de l’Azanne. La fasce ondée représente également l’étang du haut fourneau partiellement sur le ban d’Azannes. Le village de Soumazannes fut réuni à Azannes en 1809, complètement détruit au cours de la première guerre mondiale, il n’a pas été reconstruit. Les têtards constituent une arme parlante pour le sobriquet des habitants d’Azannes qui, en patois meusien, s’appellent […]
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AVOCOURT – 55023
De gueules à la fontaine d’or dominée d’une croix du même et crachant trois jets d’argent, soutenue par deux plumes d’argent passées en sautoir et accostée de deux vases antiques sigillés d’or. Soutien de l’écu : deux rameaux de poirier feuillés de sinople, tigés de tanné et fleuris d’argent aux boutons de gueules et aux sépales de sinople, passés en sautoir. Croix de guerre 1914 1918 appendue sous l’écu et brochant sur la croisure des rameaux. Cri de ralliement : AVOCOURT en lettres d’or sur un listel de sinople au revers de gueules. La croix, seule « rescapée » de la Grande Guerre fut, à la demande des habitants et en dépit de l’administration, fixée sur la fontaine. Les poteries sigillées rappellent la fabrication de céramiques à l’époque gauloise. Les plumes évoquent l’écrivain et académicien .François Nourrissier. Avocourt, village joliment installé dans une vallée entourée de bois, traversé par le ruisseau la Buanthe qui y prend sa source. L’histoire d’Avocourt remonte à la plus haute antiquité. L’étymologie du village Avonis curtis doit son origine à la longue présence des Romains. Un camp fortifié antique existait sur une hauteur avoisinant Avocourt. Un ancien château a existé aussi qui a subi […]
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ANCEMONT – 55009
D’or à la cépée arrachée de chêne de sinople, de cinq troncs, englantée d’argent, accostée de deux gouttes de gueules et surmontant un mont de sinople chargé d’une anse de panier d’argent, les deux issant de la pointe. Chef de gueules chargé de deux têtes de lion d’or affrontées. Soutien de l’écu, deux rameaux de hêtre supportés de tanné, feuillés de sinople et fruités d’or, passés en sautoir. Croix de guerre 1914- 1918 appendue à son ruban sous l’écu et brochant sur la croisure. Devise ANCEMONT en lettres d’or sur un listel de sinople au revers de gueules L’anse de panier et le mont constituent phonétiquement des armes parlantes pour le toponyme ANCEMONT jadis Ancelmont, Ansaldi-mons. Selon certains auteurs, Ancemont aurait pour origine : le domaine de Anso, personne d’origine germanique. La cité aurait été, par ailleurs, constituée par le village d’Ance (détruit par les Suédois au 17 ème siècle) et par celui de Mons. Les gouttes sont des gouttes de sang, elles évoquent un savant bénédictin, métaphysicien : Robert des Gabetz, né à Ancemont (O 1610 +1678), qui, en 1658, aurait le premier fait des essais de transfusions sanguines sur des animaux. Les gueules (rouge) […]
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AINCREVILLE – 55004
De gueules, chargé d’une croix ancrée, accostée de deux vergettes alésées nouées les trois d’or et en pointe d’une tiercefeuille d’argent ; Soutien de l’écu : deux rameaux de robinier faux acacia tigés de tanné, feuillés de sinople et fleuris d’argent ; A la croix de guerre 1914 – 1918 appendue à son ruban sous l’écu et brochant sur la croisure. Devise AINCREVILLE en lettres d’or sur un listel de sinople au revers de gueules La croix ancrée est ici une ancre de mur (servant à éviter l’écartement de ceux-ci) elle évoque phonétiquement le toponyme AINCREVILLE (Ancreville vers 1648) ; selon Jean-François-Louis Jeantin, l’étymologie d’Aincreville pourrait être liée à l’apparence du finage, la croissance du terrain crétacé : ain > vue, apparence, cre > croître en élargissant. C’est sur le territoire d’Aincreville que la couche d’argile des terrains crétacés s’élargit puis s’enfonce sous les Argonnes dans le bassin de l’Aire. Ce sont des meurtrières que représentent les vergettes alésées nouées pour rappeler le château-fort qui jadis barrait la vallée sur le passage de la voie antique de Reims à Trêves. Le champ de gueules et la tiercefeuille sont ceux des armes de la ville d’Orléans(1). Ils […]
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LAHEYCOURT -55271
• Parti, – au 1, d’azur à deux bars d’or adossés. – au 2, d’or à une roue d’engrenage de sable ; – à une trangle abaissée et ondée d’argent brochant, en pointe sur les deux champs. – Chef de gueules à un lion passant d’or. • Soutien sous l’écu : deux rameaux de chêne tigés de tanné, feuillés de sinople et englantés d’or. • Devise en lettre d’or laheycourt sur un listel de sinople au revers de gueules. Les deux bars adossés sur un champ d’azur sont ceux du Barrois Mouvant et de la prévôté de Bar dont dépendait Laheycourt sous l’ancien régime. Ces armes sont, en particulier, celles du comte Henri II de Bar bienfaiteur de la paroisse de Laheycourt à laquelle il fit don d’une forêt encore aujourd’hui forêt communale et évoquée par les rameaux de chêne. La trangle ondule comme la Chée, l’Aisne et l’étang du Grand Morinval en évoquant Saint Aignan le patron de la paroisse (Aignan est dérivé d’agne, anne, aigne : rivière, cours d’eau) Le lion est celui des armes du Général baron d’empire PORSON(a), natif de Laheycourt dont il fut, après sa carrière militaire, longtemps maire. Les gueules l’or et le […]
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VILLEROY sur MÉHOLLE – 55559
D’or au chevron renversé d’azur, chargé de 2 fleurs lys d’or posées dans le sens du chevron renversé et surmonté d’une hure de sanglier de sable. soutien sous l’écu deux rameaux d’alisier supportés de tanné, feuillés de sinople, fruités d’or, passés en sautoir, devise toponymique VILLEROY sur MÉHOLLE en lettres d’or sur un listel de sinople au revers de gueules. Le chevron renversé dessine le V de ville et évoque le toponyme du village VILLEROY ( Villa-regia en 1707) avec les lys royaux. Selon une autre version, Villeroy (en 1049 Villerégium), pourrait dériver de Villaretem :groupe de fermes, hameau. La hure de sanglier fait allusion à Saint Epvre le patron de la paroisse. Natif de Trèves ; Epvre était traduit d’ aper le sanglier en latin. Les défenses du sanglier représentent les éléments défensifs de l’église fortifiée qui servait jadis de refuge aux paroissiens L’azur et le lys, également présents dans les armes de Vaucouleurs (a) rappellent que, sous l’ancien régime Villeroy dépendait de la prévôté cette ville. Les rameaux d’alisier, un des princes des arbres du Barrois, représentent les forêts qui environnent le village. (a) La ville de Vaucouleurs a pour arme : « de gueules à […]
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TROUSSEY – 5552
D’azur chargé, à dextre d’un rameau d’aubépine ,posé en bande, supporté et feuillé d’or, à la fleur d’argent, au bouton étoilé entouré de 10 losanges de gueules, à senestre d’une tour d’église carrée d’argent maçonnée de sable et couverte de gueules. Chef de gueules, soutenu d’un ondé d’or à un feu du même accosté de deux fleurs de pomme de terre d’argent au bouton pentagonal d’or. soutien sous l’écu, deux brins d’orchis brûlés supportés et feuillés de sinople, fleuris d’argent et de pourpre, passés en sautoir. devise sur listel : TROUSSEY en lettres d’or sur un listel de sinople au revers de gueules MOTIVATION Le rameau d’aubépine constituant au printemps une jolie broussaille : une troce, évoque phonétiquement le toponyme Troussey (Troceiacum au 10 ème siècle). Troce est dérivé, comme trochée, en patois lorrain, de troche : bouquet, broussaille. Par ailleurs, selon différents auteurs, TROUSEY aurait à l’origine désigné le domaine d’un gallo-romain TROCIUS. Le champ de gueules (rouge) et l’argent des meubles rappellent que TROUSSEY était sous l’ancien régime une terre du chapitre de la cathédrale de Toul (a). Le feu d’or sur le champ de gueules évoque le martyre de Saint Laurent sur […]
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SAUVOY – 55475
Tranché – au 1, d’azur à la tour d’argent ouverte et ajourée du champ. – au 2, d’or au cor de chasse de gueules posé en bande soutien sous l’écu deux rameaux de chêne supportés de tanné, feuillés de sinople, fruités d’or, passés en sautoir, devise toponymique SAUVOY en lettres d’or sur un listel d’azur au revers de gueules. Le cor de chasse fait allusion au toponyme SAUVOY (jadis Sylviaco palatino regio et salviaco) dérivé selon certains de sylvia (forêt), pour d’autres issu du nom de personne germanique Salvius : sauf, sauvé (comme le gibier sauvé, caché par la forêt) . Il rappelle également que SAUVOY était au moyen âge un rendez-vous de chasse. La tour représente le château. La tour d’argent souligne également que Sauvoy dépendait autrefois de la prévôté de Vaucouleurs (a). L’argent (blanc) de la tour, symbolise Aubin (du latin albus : blanc) et ainsi Saint AUBIN le patron de la paroisse. Les rameaux de chêne le roi des arbres du Barrois représentent les forêts qui environnent le village. (a) La ville de Vaucouleurs a pour arme : « de gueules à la tour d’argent au chef cousu d’azur chargé de 3 fleurs de lys […]
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SAULVAUX – 55472
Parti d’azur et d’argent, – Aux 2 épées posées en chevron renversé, l’une en l’autre. – Surmontées d’un lion d’or armé et lampassé de gueules portant un globe d’argent cintré et croisé du même Soutien sous l’écu: deux rameaux de saule tigés, feuillés de sinople et fruités d’or passés en sautoir. Devise SAULVAUX en lettres d’or sur un listel de sinople au revers de gueules L’or, l’argent et les gueules (rouge) couleurs de la Lorraine rappellent que la commune dépend de cette Région. Le village de Saulx (autrefois Salix) est évoqué par le lion d’or de la maison de SAULX (a) rattachée à l’ancienne chevalerie de Lorraine et par les rameaux de saule (le latin salix désigne le saule). Lee 2 épées en chevron renversé dessinent le V de VAUX. Le globe est l’un des attributs de St Christophe le patron de l’église fortifiée de SAULX. L’épée à dextre est celle du martyre de St Julien auquel est vouée l’église fortifiée de VAUX la Petite. L’épée à senestre est celle avec laquelle Saint Martin, patron de la paroisse de VAUX la Grande, partagea son manteau avec un pauvre. Les 3 villages de SAULX en Barrois, VAUX la […]
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NAIVES en BLOIS – 55368
D’argent à la plaine de sinople surmontée de trois billettes de gueules posées 1 et 2. Chapé de gueules chargé de deux trèfles d’or. Soutien sous l’écu: deux rameaux de hêtre tigés de tanné, feuillés de sinople et fruités d’or passés en sautoir. Devise sur listel : NAIVES en BLOIS La plaine de sinople fait allusion au toponyme Naives du village (jadis Navia : plaine ou plateau). Les gueules (rouge), l’argent des champs et l’or des meubles rappellent que jadis les habitants de la cité étaient divisés en 3 communautés dépendant de trois juridictions différentes : Gondrecourt (avec l’or), Ligny- Luxembourg (avec les gueules et l’argent), le chapitre de la cathédrale de Toul (également avec les gueules et l’argent) (a). Les deux parties de chapé font allusion au saint patron de la paroisse Martin soldat romain, qui, selon la légende, a manifesté sa grande générosité, en tranchant de son épée son manteau pour en donner moitié à un pauvre dénudé, avant de devenir moine puis évêque de TOURS. Les trois feuilles des trèfles rappellent que le hameau de Braux possédait jadis une chapelle vouée à la Sainte Trinité Les trois billettes illustrent une activité de Naives autrefois […]
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MÉNIL la HORGNE – 55334
d’azur, – au chevron haussé d’argent, – accompagné, en chef, de deux abeilles d’or, – et, en pointe, d’une gerbe du même. L’écu soutenu par deux iris tigés, feuillés de sinople et fleuris d’or passés en sautoir. Devise toponymique sur listel d’or au revers de gueules : MÉNIL la HORGNE Le chevron d’or évoque un toit et ainsi la maison ; la gerbe évoque une grange à grains. Chevron et gerbe illustrent le toponyme MÉNIL la HORGNE du village (selon certains auteurs, Ménil : maison du chef de famille ; Horgne : de horre grange à blé). L’argent du chevron, l’azur et les iris d’or font allusion à l’abbaye de RIEVAL érigé à proximité de Ménil La Horgne au XIIème siècle. Les Prémontrés auxquels appartenait RIEVAL étaient vêtus de blanc et leurs armes d’azur (a). Les iris d’or évoquent le site de Rieval jadis Régia vallis : la vallée des rois car il aurait constitué une résidence royale sous les Mérovingiens et les Carolingiens. Selon certains, Clovis aurait adopté l’iris jaune comme emblème(b). Ce serait sous Louis VII, que l’iris serait devenu » fleur de Louis » et devint la fleur de Lys d’or des rois de […]
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COUVERTPUIS – 55133
De gueules, – à la bande ondée d’argent rompue, – accompagnée en chef d’un puits d’or et en pointe d’une palme du même. Soutien sous l’écu : 2 rameaux de hêtre tigés de tanné, feuillés de sinople et fruités d’or passés en sautoir. Devise toponymique COUVERTPUIS en lettres de sable sur un listel d’or au revers de gueules. La bande ondée évoque l’Orge , elle est rompue pour évoquer la disparition de cette rivière à la traversée du village dans les fissures calcaires. La bande et le puits suggèrent le toponyme COUVERPUIS. La palme évoque St Cloud auquel était vouée la chapelle de la cense éponyme. L’or, couleur du miel, souligne que CHLODOWALD (Cloud) était un descendant mérovingien (l’abeille était leur symbole). La palme est aussi liée à l’ermitage, elle rappelle que St Cloud est devenu moine puis ermite (St Paul, 1er ermite chrétien – 229-342 –vivait au désert et s’habillait de feuille de palmier). Les gueules et l’argent, couleur des templiers qui portaient d’argent à une croix pattée de gueules, rappellent qu’une maison des templiers a existé à Couverpuis. Les rameaux de hêtre sont ceux des forêts environnantes. Armoiries composées et dessinées par Robert, André LOUIS, […]
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RIBEAUCOURT – 55430
D’azur à un rencontre de taureau d’or, à l’anneau de gueules, accompagné de deux molettes d’argent ; Coupé crénelé, d’or à un manteau de centurion romain et à une épée d’argent abaissée brochant. Tenant de l’écu : 2 chevreuils de tanné au derrière d’argent. Devise toponymique RIBEAUCOURT en lettres d’or sur un listel de sinople au revers de gueules. Les champs d’azur et d’or et le meubles d’argent rappellent que le village dépendait jadis du Bassigny et de la province de Champagne(a). La tête de taureau symbolise la force, la puissance. Les molettes illustrent la témérité l’audace (il faut avoir de l’intrépidité pour piquer des deux et lancer vigoureusement son cheval au galop). Tête de taureau et molettes évoquent ainsi le toponyme Ribeaucourt, jadis Robaldicurtis (le domaine de hrobald) dérivé selon certains de ricbald ; ric : puissant et bald : audacieux. La partition crénelée représente les éléments défensifs de l’église fortifiée vouée à Saint Martin représenté par le manteau de centurion romain et le glaive avec lequel il l’a coupé pour en donner moitié à un pauvre dévêtu. Les chevreuils sont ceux qui hantent les forêts environnantes. (a) Les armes de la Champagne se blasonnent : […]
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DAMMARIE sur SAULX – 55144
Mi-tranché, retaillé en chef, – au 1 d’azur au bouton de bâton de prieur d’argent orné d’une fleur de lys de jardin du même, – au 2 d’or à 2 creusets de fonderie de gueules. Soutien sous l’écu : 2 rameaux de charmes croisés en sautoir, tigés de tanné, feuillés de sinople et fruités d’or. Le lys de jardin est celui de Marie la mère de Jésus à laquelle est vouée la paroisse ; représentant Dame Marie la fleur de lys est également une armoirie parlante pour le toponyme Dammarie. Avec le bâton de prieur, il rappelle qu’un prieuré des bénédictins dit de Notre Dame a été créé à Dammarie en 1080. Les creusets de fonderie représentent l’importance de la sidérurgie dans la commune. Les rameaux sont ceux des charmes des forêts environnantes. Armoiries composées et dessinées par Robert, André LOUIS, avec les conseils de la commission héraldique de l’Union des Cercles Généalogiques Lorrains et utilisées par la commune depuis juin 2015.
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BURE – 55087
D’or au moine en robe de bure au naturel, parti contre-palé d’argent et de gueules de 6 pièces. Chef d’azur à la sauterelle d’or. Soutien sous l’écu : 2 rameaux d’orme croisés en sautoir, tigés de tanné, feuillé de sinople, fruités d’or. La robe de bure est bien entendu une arme parlante pour le toponyme BURE de la commune. Le contre-palé d’argent et d’azur constituait les armes anciennes de la famille de Joinville jadis seigneur de Bure. La sauterelle d’or (la couleur du miel) illustre que selon l’évangile St Jean Baptiste, le patron de la paroisse » se nourrissait de sauterelles et de miel sauvage » dans le désert. Les rameaux d’orme évoquent le nom d’une rue éponyme du village. Armoiries composées et dessinées par Robert, André LOUIS, avec les conseils de la commission héraldique de l’Union des Cercles Généalogiques Lorrains et adoptées par la commune en juin 2011.
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UGNY sur MEUSE – 55522
Coupé : au 1 de gueules à une tête arrachée de loup d’or, au 2 d’or à un roc d’échiquier de gueules accosté de 2 cocardes bicolores constituées chacune d’un anneau d’azur rempli de gueules. Soutien sous l’écu : 2 sandres d’azur allumés d’or affrontés. Devise toponymique : UGNY-sur-MEUSE en lettres d’or sur un listel de sinople au revers de gueules Le roc d’échiquier représente, bien entendu le jeu d’échec avec lequel il faut faire preuve de stratégie, d’intelligence et évoque ainsi une version du toponyme Ugny du village autrefois Hugny contraction de hugueney diminutif de Hugues d’origine germanique signifiant intelligence. Selon certains auteurs Ugny ( unniacum en 1011) pourrait être lié au nom de personne germanique Unno. Les 2 cocardes sont celles de la RAF ; elles représentent le sacrifice de 7 aviateurs anglais dont le « Lancaster » a été abattu par la DCA allemande le 27/04/1944 au-dessus d’Ugny. La tête de loup est une figure parlante pour St Loup le patron de la paroisse. Les sandres sont ceux qui chassent dans la Meuse. Version d’armoiries composée et dessinée par Robert, André LOUIS avec les conseils de la commission héraldique de l’Union des Cercles Généalogiques Lorrains et […]
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RIGNY-la-SALLE – 55433
Parti : au 1 d’azur au pied de lys de jardin d’argent, au 2 à la tour donjonnée ouverte et ajourée du champ, de l’un en l’autre. A la trangle ondée abaissée, d’or brochant sur les 2 champs. Soutien sous l’écu : 2 rameaux de noisetier tigés de tanné, feuillés de sinople, fruités d’or croisés en sautoir. Devise toponymique RIGNY- la- SALLE en lettres de sable sur un listel d’or au revers de gueules La trangle ondule, comme les ruisseaux qui traversent le village, illustre Rigny dérivé de rinne, rigne = rivière. La tour représente le château de Malpierre et évoque ainsi la Salle, du francique sal pièce principale puis par extension également un manoir, un château. La tour donjonnée est aussi celle des armes de la famille des Salles (en champagne : d’argent à la tour donjonnée de sable). Le pied de lys de jardin est celui de la mère de Jésus patronne de la paroisse. Les rameaux de noisetier évoquent les arbres des forêts environnantes Armoiries composées et dessinées par Robert, André LOUIS en avec les conseils du groupe héraldique de l’Union des Cercles Généalogiques Lorrains et adoptées par la commune en janvier 2015.
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